ECHOS
INTERVIEWS - CAPTATIONS - LECTURES EN LIGNE...
Noir d'ancre
« Sur une très belle et très simple idée, d’une sobre plume
classique, la nouvelle lauréate torée avec élégance la contrainte du trio pour
imaginer une jeune femme qui depuis quatre cent nuits convoque le souvenir de
son amant disparu. Mais comme dans le conte de la bergère et du petit ramoneur,
l’amant descend du tableau pour ancrer l’érotisme dans le sentiment amoureux.
Ou le contraire… »
Marion Mazauric
Le texte : http://fr.calameo.com/books/0050653860d6d9fc855ac
Le film du jury 2016 :
https://www.youtube.com/watch?v=Ue-420apHkc
https://www.youtube.com/watch?v=Ue-420apHkc
La Galerie des Murmures
Ne vous déplaise (La Galerie des Murmures) : https://vimeo.com/80904281
Bande annonce lecture musées (La Galerie des Murmures) : https://vimeo.com/109441912
Enregistrement Emission spéciale 50 ans France Culture https://www.franceculture.fr/emissions/latelier-fiction/tokyo-air-radiophonic-birthday-night# Time code : 41'00"
« La galerie des murmures
développe une
nouvelle relation à l’art. A travers ces vies rêvées des œuvres, elle touche et
porte car elle exprime la variété des situations que nous rencontrons et des
sentiments que nous éprouvons, parfois enfouis profondément au fond de
nous-mêmes et de nos histoires de famille... »
Ouest-France
Le Courrier de l'Ouest
Le Courrier de l'Ouest
Culture Chronique
Isabelle
COUSTEIL, dans son ouvrage “La galerie des murmures”, nous propose un
petit musée imaginaire de 20 oeuvres comme autant de scènes de la vie rêvée de
ces oeuvres. Sont convoqués dans cette galerie des songes : Man Ray, Modigliani,
Manet, Cézanne, Henner, Cordier, Mondrian, Ghirlandaio, Le Titien, Bouchardon,
Monet, Carrière, Piero della Francesca, Toulouse-Lautrec, Gauguin, Vinci… Fort
jolie compagnie en vérité.
Chacune des oeuvres vient murmurer à notre oreille
sous des formes très différentes : dialogues, lettres, textos, poèmes, appels
téléphoniques, suppliques… Ces variations nous offrent une méditation sur le
sens profond de ces oeuvres qui font, de près ou de loin, partie de nos vies.
Isabelle COUSTEIL se joue avec délice des
différents registres littéraires construisant une méditation sur l’art qui ne
peut laisser le lecteur indifférent. Le tour de force tenant à la capacité de
l’auteur à varier les tons et les styles d’écriture. Passant d’une prose
parfois très populaire à un style érudit, l’écrivain nous propose une vision
transcendante de la dimension artistique.
Cette galerie imaginaire suggère des rencontres
improbables et inchronologiques où l’on découvre l’amour du Violoncelle de
Modigliani pour le violon d’Ingres de Man Ray, où l’on écoute discrètement une
vraie discussion de voyous entre Mona Lisa et l’Ange de Reims, où l’on surprend
une altercation post mortem entre le Duc et la Duchesse de Berry. Isabelle
COUSTEIL joue avec les références et les clichés qui nous habitent souvent à
notre insu. Cette promenade nous interroge autant sur l’usage que nous faisons
des oeuvres que sur la manière dont elles opèrent sur nos existences. A. LANKIRI (2014)
20minutes.fr, le 28/01/2014
Dans son «musée
imaginaire», Isabelle Cousteil franchit allègrement la ligne rouge du délire
romanesque.
Elle nous dévoile l'amour du violoncelliste de Modigliani pour le violon d'Ingres de Man Ray, nous fait craindre un réveil des Antiques du Louvre et la révolte de la déesse Bastet contre Jean de La Fontaine. Elle entend le duc et la duchesse de Berry se quereller post mortem. Elle enchaîne Camille Claudel et Séraphine de Senlis dans la souffrance et la folie, surprend une discussion de voyous fraternels entre Monna Lisa et l'Ange de Reims...
Et, dans un jardin de Monet, une belle mélancolique confie son seul espoir : vous revoir lorsque vous aurez refermé ces pages. Les portraits murmurent. Écoutez-les avec les yeux pour mieux les voir avec le coeur,... comme les ont «entendus» les pinceaux de Lupi.
Elle nous dévoile l'amour du violoncelliste de Modigliani pour le violon d'Ingres de Man Ray, nous fait craindre un réveil des Antiques du Louvre et la révolte de la déesse Bastet contre Jean de La Fontaine. Elle entend le duc et la duchesse de Berry se quereller post mortem. Elle enchaîne Camille Claudel et Séraphine de Senlis dans la souffrance et la folie, surprend une discussion de voyous fraternels entre Monna Lisa et l'Ange de Reims...
Et, dans un jardin de Monet, une belle mélancolique confie son seul espoir : vous revoir lorsque vous aurez refermé ces pages. Les portraits murmurent. Écoutez-les avec les yeux pour mieux les voir avec le coeur,... comme les ont «entendus» les pinceaux de Lupi.
1) Isabelle Cousteil, qui
êtes-vous ? !
Une vierge sage et folle, toujours entre réalité et fiction, qui aime profondément la vie, en témoigner, la raconter, la réinventer.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Le petit théâtre de la vie. La permanence de l'âme humaine par-delà les siècles, les modes, les milieux.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Doucement, imperceptiblement, sans même que la foule autour de vous s'en doute, vous vous coulerez dans la matière épaisse de la toile, vous vous abandonnerez à la couleur vibrante, vous vous retrouverez assis sur l'herbe à mes côtés.»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
«Les gymnopédies» de Satie, à la fois facétieuses et nostalgiques.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Le goût des autres.
Une vierge sage et folle, toujours entre réalité et fiction, qui aime profondément la vie, en témoigner, la raconter, la réinventer.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Le petit théâtre de la vie. La permanence de l'âme humaine par-delà les siècles, les modes, les milieux.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Doucement, imperceptiblement, sans même que la foule autour de vous s'en doute, vous vous coulerez dans la matière épaisse de la toile, vous vous abandonnerez à la couleur vibrante, vous vous retrouverez assis sur l'herbe à mes côtés.»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
«Les gymnopédies» de Satie, à la fois facétieuses et nostalgiques.
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Le goût des autres.
PIERROT BIDON, L'HOMME CIRQUE
Editions HD ENTROP!K
"(…) Cela doit faire des mois et des mois que cela ne m'est
arrivé.
J'ai commencé à feuilleter le livre de Pierre Bidon à 18H en me disant
que je le lirai ce week end. (…) Il est presque minuit et j'ai lu le livre tout entier, d'une traite, sans pouvoir
m'arrêter,
comme un grand roman, j'étais happée par la vie, l'intrépide,
l'affolante et l'inspirée vie continue, une sortie de flux tellement tendu entre
toutes les créations, les sentiments des uns et des autres, les images, (…)
toute la mémoire de toute cette créativité, et l'incroyable matériau
des notes, des croquis, des poèmes, ce travail infatigable des jours
et des nuits; tout ce visible qui était invisible à l'oeil nu de son
vivant.
Et d'une beauté humaine et plastique prodigieuse. Il
fallait faire ce livre, il va tant compter. (…)
(...) Quel plaisir quand on oublie tout le
reste et qu'on est à ce point happé par un objet, par un texte, je te
dis, cela m'arrive très rarement. J'ai faim, il est minuit."
Manuela Morgaine - écrivain, metteur en scène, réalisatrice
"Je sais que ce n'était pas au programme, mais le livre
est vraiment formidable.
Belle épopée que celle de Pierrot Bidon, né Pierric Pillot, né
au Mans en 1954, disparu en 2010 après avoir monté une trentaine de
spectacles qui ont essaimé de l'Europe, au Brésil,
en Afrique… (...) Rédigé sur un ton alerte, très
vivant par Isabelle Cousteil, ce livre euphorique porte en exergue une citation
de Pierrot : "dans le cirque traditionnel, le spectateur a peur pour
l'artiste/ avec moi, il a peur pour lui-même. Il se demande toujours ce qui peut
arriver…et
en général,
ça
arrive."
(...) Il reste vivant à travers les pages de ce livre généreux."
Edith Rappoport - conseiller théâtre - Cassandre, Journal de bord d'une accro,
A MONNA LISA, LE LOUVRE, PARIS
Editions Triartis - Collection « Correspondances Intempestives »
Actualitte.Com
Rédigé par Nicolas Gary, le jeudi
25 mars 2010 à 10h00
Ah, cette douce Monna, qui peut-être ne mériterait pas
une messe, mais valait bien au moins que l’on déplace quelques vaillants
auteurs pour lui écrire les lettres, qu’elles soient des confidences d’amoureux
transis ou des poèmes d‘admirateurs, jusqu‘aux protestations discrètes… D’ailleurs,
du courrier, Mona en reçoit depuis des lustres, tant et si bien que le Louvre
qui l’héberge depuis des lustres l’a archivé et conservé. Juste comme ça, on ne
sait jamais…
Alors nous y voilà : quarante-cinq auteurs se sont précipité la plume pour déclarer ce qu’ils avaient sur le cœur - on débutera même sur une lettre qui propose trois réponses types à renvoyer à ceux qui auront pris la peine d’écrire, mais cette fois, pas du tout dans un but littéraire. Gratuitement. Pour coucher sur le papier tout ce que Mona peut inspirer.
Dans ce jeu épistolaire, Isabelle Cousteil se fait en effet porte-parole de Mona, en ouvrant et fermant le recueil. On découvre un « Oubliez-moi, j’ai passé l’âge » pour tourner la dernière page avec « Aucun jamais ne volera ma place. Sourira bien qui sourira la dernière ». Et entre les deux, des lettres, comiques, troublantes, irritées, moqueuses, discrètes, enthousiastes, et j’en passe et j’en oublie.
Et de temps en temps, Isabelle prend le temps de répondre, toujours avec humour, et assumant pleinement son rôle.
Voilà bien un petit livre à ne pas rater, succulent et plein de vie. C’est frais, plus que rafraîchissant, parfois survolté, mais toujours étonnant. Qu’on l’aime ou non, Lisa méritait bien ce petit exercice.
Alors nous y voilà : quarante-cinq auteurs se sont précipité la plume pour déclarer ce qu’ils avaient sur le cœur - on débutera même sur une lettre qui propose trois réponses types à renvoyer à ceux qui auront pris la peine d’écrire, mais cette fois, pas du tout dans un but littéraire. Gratuitement. Pour coucher sur le papier tout ce que Mona peut inspirer.
Dans ce jeu épistolaire, Isabelle Cousteil se fait en effet porte-parole de Mona, en ouvrant et fermant le recueil. On découvre un « Oubliez-moi, j’ai passé l’âge » pour tourner la dernière page avec « Aucun jamais ne volera ma place. Sourira bien qui sourira la dernière ». Et entre les deux, des lettres, comiques, troublantes, irritées, moqueuses, discrètes, enthousiastes, et j’en passe et j’en oublie.
Et de temps en temps, Isabelle prend le temps de répondre, toujours avec humour, et assumant pleinement son rôle.
Voilà bien un petit livre à ne pas rater, succulent et plein de vie. C’est frais, plus que rafraîchissant, parfois survolté, mais toujours étonnant. Qu’on l’aime ou non, Lisa méritait bien ce petit exercice.
Les mauvaises fréquentations - Le blog de Thierry Savatier
15 septembre 2011 Quand la Joconde reçoit du courrier…
aux archives du musée
d’Orsay, on trouve quelques courriers de chercheurs et de visiteurs ; le
plus singulier étant probablement celui d’un père de famille américain qui se
plaint fort sérieusement de n’avoir pu offrir à sa fille de 16 ans l’innocent
album Votre visite à Orsay au prétexte que la
toile de Courbet s’y trouve reproduite… Mais on ne relève aucune lettre
directement adressée au tableau. On n’ose pas écrire au sexe d’une femme,
fut-il le plus célèbre du monde, pas même une carte postale ou un courriel. En
revanche, au musée du Louvre, le dossier de La Joconde s'enrichit
régulièrement de lettres directement adressées à Mona Lisa en provenance du
monde entier ! L’enveloppe est le plus souvent ainsi rédigée :
« Mona Lisa / Musée du Louvre / France ».
C’est en compulsant ces
papiers qu’est venu à l’esprit d’Isabelle Cousteil un étonnant projet :
demander à des personnalités d’écrire un message à l’énigmatique modèle, ou à
sa représentation peinte. Ces textes sont regroupés dans un ouvrage intitulé A Mona Lisa, Le Louvre, Paris (Triartis, 127 pages, 20 €).
Quarante-cinq épistoliers se sont livrés à cet exercice insolite et le résultat
ne manque ni d’intérêt ni d’humour, ni, naturellement, de références à Marcel
Duchamp.
Certains se lancent dans
l'aventure en leur nom propre, comme Agnès Akérib (complice d’Isabelle
Cousteil pour un savoureux dialogue d’Alexandre Dumas et de Théophile Gautier
dont il a été question dans ces colonnes), Jean-Claude Dreyfus,
Didier Barbelivien (sans Félix Gray…) ou Francis Perrin.
D’autres prêtent leur
plume à des personnages réels ou fictifs. Ainsi, Françoise Hamel signe-t-elle
« comtesse de Grignan », Jean-Paul Farré « Léonard de
Vinci », Julie Marbœuf choisit de camper une directrice de casting de
l’agence de mannequins Elitis International (dans une lettre de refus
hilarante), Marie-Dominique Montavon, une délégués syndicale, Anne Sylvestre
une certaine Ernestine-Antoinette. L’une des pièces les plus drôles de ce
recueil reste due à Christine Reverho qui fait décrire au jeune Mouloud, venu
d’Aulnay-sous-Bois avec sa classe, sa découverte de l’illustre portrait et de
son modèle. Et, comme la démarche n’est guère éloignée d’un exercice de style
dans le goût de Queneau, d’autres encore donnent à leur texte une forme plus
inattendue : Jean-Marc Gros-Désormeaux, Victor Haïm et Séverine Vincent
composent un poème, Laurent Madiot une chanson, Anne-France Lebrun une suite de
petites annonces de Libé et Pierre Notte des textos. Il faut vivre
avec son temps.
Au milieu de ces
missives diverses, l’auteure a inséré de vraies lettres issues du dossier du
Louvre ; elles ne sont pas les moins curieuses. Et, comme il faut bien, de
temps à autres, que la destinataire s’exprime autrement que par un sourire,
Isabelle Cousteil s’est glissée sous son voile à quelques reprises.
Il serait intéressant
d’analyser les motivations de ceux qui jettent ainsi une bouteille à la mer (ou
à la Poste) à Mona Lisa. Cela ferait sans doute un beau sujet de thèse en
psychologie ou en histoire de l’art. Et le lecteur, curieux, s’interroge :
La Joconde serait-elle la seule œuvre à recevoir ainsi une foule de messages ?
Qu’en est-il d’Olympia, de la Vénus de Milo ou de la Victoire de Samothrace ? Il faudrait bien aller y voir…
QUAND LES LOUPS AVAIENT DES PLUMES
Editions
Triartis - Collection « Correspondances Intempestives »
Quelques mots des hommes (et femmes) de l’art
« J’ai beaucoup aimé ce livre drôle et lettré (au
bon sens du mot). Je viens de lire un ouvrage de Noëlle Châtelet assez
semblable, et je trouve celui d’Isabelle Cousteil bien meilleur. »
Jack Chaboud – écrivain -
Directeur de collections de romans pour la jeunesse
chez Magnard et chez Plon
« Merci
pour ce « premier roman », dont j’ai déjà apprécié l’écriture, que je
trouve très maîtrisée, poétique quand il faut, retenue quand il faut. Un beau
début en littérature, que je vous encourage à continuer… »
Jacques Astruc – Sélection « Premiers Romans »
des Bibliothèques de la Ville de Paris
« Votre
talent d’écriture éclate à chaque page.»
Patrick Fauconnier, écrivain, journaliste (Le Nouvel
Observateur/Challenge)
« Nous
avons eu la joie de découvrir « Quand les loups avaient des plumes »
qui nous a beaucoup touchés avec son humour si tendre. Merci pour cet émouvant
et beau texte d’imagination-vérité »
Claude et Marie Nuridsany – Scénaristes/réalisateurs
(Microcosmos, Génésis…)
Des échos sur la toile…
Coup de Pouce Prixlittéraires.net
« J’ai reçu il y a quelques semaines
le premier roman d’Isabelle Cousteil, Quand
les loups avaient des plumes (Ed. Triartis). Une chronique racontée par
un bébé de sa vie in utero jusqu'à ses 4 ans ! C’est drôle, émouvant et
se lit en une soirée (remplace avantageusement une série TV). »
Coup de cœur Actualitte.com
Quand une
petite fille de quatre années ouvre finalement les yeux sur le monde qui
l'entoure, c'est avec une grande naïveté, et surtout, avec peu de choses en
tête.
Isabelle Cousteil, qui avait déjà prêté sa voix à Monna Lisa dernièrement, vient ici nous raconter une aventure magnifique, qui commence aux premiers jours de la création d'un enfant.
Depuis les premières marques de cette grossesse vécue de l'intérieur, jusqu'aux premiers pas, notre "petit loup" va découvrir ce que signifie de vivre. L'émerveillement de cette petite créature est touchant, autant que ses découvertes vont vous enchanter. On s'étonne avec elle, suivant ses mouvements, son regard. Touchant et drôle.
Avec humour et intelligence, Isabelle (maman elle-même ?) nous offre un véritable conte de naissance, dont les premières pages sont à découvrir à cette adresse.
C'est un livre que l'on dévore en quelques heures, à peine, qui brosse le portrait d'une vie nouvelle, qui se découvre et s'ouvre, aux événements parfois tragiques. Cette petite merveille est à découvrir de toute urgence...
Isabelle Cousteil, qui avait déjà prêté sa voix à Monna Lisa dernièrement, vient ici nous raconter une aventure magnifique, qui commence aux premiers jours de la création d'un enfant.
Depuis les premières marques de cette grossesse vécue de l'intérieur, jusqu'aux premiers pas, notre "petit loup" va découvrir ce que signifie de vivre. L'émerveillement de cette petite créature est touchant, autant que ses découvertes vont vous enchanter. On s'étonne avec elle, suivant ses mouvements, son regard. Touchant et drôle.
Avec humour et intelligence, Isabelle (maman elle-même ?) nous offre un véritable conte de naissance, dont les premières pages sont à découvrir à cette adresse.
C'est un livre que l'on dévore en quelques heures, à peine, qui brosse le portrait d'une vie nouvelle, qui se découvre et s'ouvre, aux événements parfois tragiques. Cette petite merveille est à découvrir de toute urgence...
Au gré des
blogs…
Biblioblog, Overblog,
Sylire, Les fanas des livres, Actualitte, Je lis, Insatiable lectrice,
fnac.com, Booknode, Magicmaman, les blog d’Antigone, d’Anouchka, d’Audrey
Gaillard etc.
« …Raconter la prime enfance à travers la voix d'un nourrisson est
évidemment une entreprise très risquée. On sait combien il est difficile de
trouver cet équilibre précaire entre vraisemblance et fluidité de la narration.
Isabelle Cousteil a clairement opté pour un langage adulte, soigné, poétique.
L'enfance se trouverait donc dans les sensations et la perception du petit narrateur.
Voir le monde et les adultes à travers le regard d'un tout-petit ;
s'amuser de nos paradoxes d'adultes parfois bien incompréhensibles pour nos
bambins. On aurait pu craindre le pire (un récit bêtifiant, un langage d'enfant
artificiel…) mais Isabelle Cousteil évite les croque-en-jambes avec habileté.
Peut-être, justement, parce que le lecteur n'est jamais dupe et que derrière
l'alibi du petit loup, on sent avant tout l'amour incommensurable d'une maman
pour son enfant.
(…) On reconnaît à travers
les anecdotes, toute l'ironie et l'auto-dérision d'une mère attentive aux
moindres réactions de la chair de sa chair. Et c'est sans doute dans cet
exercice d'auto-critique et de mise en abîme que le récit d'Isabelle Cousteil
parvient à émouvoir le lecteur-parent qui reconnait son propre vécu. »
« …On sourit, on est ému… Un joli condensé
d’amour du témoignage d’une mère via son enfant. Pas de mièvrerie ou d’excès,
seulement des mots justes qui
touchent. Une très belle découverte. »
« Point de mièvrerie ni de langage bébé dans ce
roman. Au contraire, c’est un regard
aiguisé et déjà très lucide que Loup porte sur le monde. Et c’est peut-être
ce qui m’a le plus enchantée : cette capacité à restituer de manière juste le
regard que les enfants portent sur leur environnement. Ce regard d’une grande
sagesse, plein de sagacité et cette capacité à poser les questions les plus
pertinentes et souvent aussi les plus dérangeantes que l’éducation semble
ensuite vouloir absolument éradiquer. »
« Ma première rencontre avec ce livre fut assez
étrange, ce titre énigmatique, cette couverture verte anis dénuée d’image et un
quatrième de couverture encore plus énigmatique… Lire Quand les loups avaient des plumes c’est comme pénétrer dans la tête d’un jeune enfant
ordinaire mais qui se pose de vraies questions. Oubliez les « Allo maman
ici bébé » qui montraient des enfants aux pensées assez simplistes. »
« C'est
un récit poétique et plein de joie de vivre, bien qu’émouvant vers la fin
: Aucun bonheur n’est à l’abri
d’une « tuile » qui parfois tombe de façon brutale et cruelle. C’est une
jolie idée et le résultat tout à fait
réussi. »
« Joli titre n’est-ce
pas ?
C’est celui d’un livre. Un livre que je viens de finir et que j’ai beaucoup
aimé. Une petite pépite ui mérite
qu’on s’y attarde, vraiment ! Ecrite par une jeune auteur, Isabelle Cousteil.
Il s’agit d’une chronique très drôle, émouvante, et surtout originale: racontée
par un enfant, in utéro jusqu’à sa 4è année. Le monde des adultes vu par un
petit « loup ».
« Ce livre est génial.... Les chroniques d'un petit garçon de ses -2 Jours avant sa naissance jusqu'à ses 4 ans!
Un "Allo Maman ici bébé" mais en beaucoup beaucoup plus fin, plus intelligent, plus drôle et plus émouvant! Je l'ai avalé en une soirée....à votre tour! »
« J'ai eu un vrai coup de foudre pour ce livre ! J'avais entre les mains de quoi remuer, sans ménagement, mon coeur.
Mais n'allez
pas croire que mes "larmes à l'oeil" furent seules maitresses à
bord de ma lecture. Les souvenirs malicieux et les mots d'enfants irrésistibles
se sont ligués pour me faire sourire. La fin de l'histoire est de la vraie vie.
De celle qui file un grand coup de poing. Je n'hésite pas une seconde: ce livre
est de ceux à lire, à faire lire et à offrir. Merci aux Editions Triartis. »
« J'ai dévoré ce livre. Je l'ai adoré. Ce livre
est un concentré d'amour, d'émotions, de bonheur ! Il faut le lire pour comprendre.
J'ai lu un conte qui continue à m'enchanter
même après avoir refermé la dernière page. »
« C'est un vrai coup de coeur, si bien que je
l'ai carrément commandé en double exemplaire pour l'avoir et l'offrir !!! C'est
un pur bonheur de lecture
en raison de l'originalité
de cette chronique et
du style de l'auteure. Un livre à
lire absolument!! »
« Isabelle
Cousteil réussit à nous faire entrer dans un album de famille sans jamais
mettre le lecteur en situation de voyeurisme, et nous renvoie à notre vécu qui
entre en résonnance et amplifie le
propos, les émotions de ce livre. Aucun
ouvrage traitant ce sujet n’avait atteint ce degré de fraîcheur et de réalisme. »
Le courrier des
lecteurs
« On ne
peut rêver à plus belle déclaration d'amour. Ce livre est rempli d'émotion et
d'espoir. On en ressort avec un cœur qui
déborde. Il nous donne envie de lover nos enfants, de les regarder autrement. C'est beau, c'est vrai, c'est tendre. » Valérie.
déborde. Il nous donne envie de lover nos enfants, de les regarder autrement. C'est beau, c'est vrai, c'est tendre. » Valérie.
« J’ai souri, ri, eu parfois la larme à l'œil,
plusieurs pleurs... Pour ce que ça raconte? Est-ce l’enfant que je fus, celui
qui demeure, qui a refusé certaines responsabilités de l'adulte (d'être père ou
pair), qui n'a pu se contenir? Est-ce de tant d'amour et de bonté d'âme? Sans
doute un peu de tout ça... »
Jean-Yves
« Ce premier livre est un concentré de bonheur, de rire, d'émotion et ce n'est pas parce que c'est l'histoire d'un petit garçon
que c'est de la littérature pour nanas, loin de là ! » Sylvie
« Impossible
de le refermer après l'avoir ouvert… je l'ai donc bu d'un trait jusqu'à la
dernière goutte. Mon mari, qui se demandait dans quel monde je pouvais bien me
trouver, m'a vue successivement rire, renifler, re-rire et et re-re-rire. Il a
même eu droit à quelques morceaux choisis et l'a subtilisé pour le poser sur sa
table de nuit dès que je l'ai eu terminé. Mon seul regret : c'est trop court !! » Pauline
« Le petit livre vert : Je me dé-lec-te! Et
je ne mâche pas mes mots! Vous avez vraiment une superbe plume et votre vécu me
rappelle tant de choses; cela ravive des sentiments connus mais avec toute
votre poésie! » Stéphanie
« Avec
regret, je viens de refermer le livre « Quand les loups avaient des
plumes ». J’aurais tellement souhaité que ce moment de lecture se
prolonge. Quel bonheur : tant de poésie, de sensibilité, les bonheurs, les
malheurs sont si bien contés, avec une telle justesse. Merci du fond du cœur.
Je ne peux que souhaiter une longue suite à ce roman. » Françoise
« J’ai
beaucoup aimé votre écriture, à la fluide et précise, légère et poétique,
évidente et nuancée » Anne
« Chaque ligne m’a transportée d’émotions : j’ai
ri, j’ai moins ri, j’ai été attendrie (ça, c’était au long du livre), j’avais
envie de serrer mes enfants dans mes bras, de leur poser plein de questions,
…., et de ne pas fermer ce livre, que sa
poésie continue encore et encore. Je vous souhaite du succès car votre plume le
mérite. » Valérie
« Quel livre poétique et tendre vous avez écrit
là ! Un seul reproche : vous l'avez écrit trop tard !!!! Merci pour la
poésie et la tendresse. » Marie
« Ce matin, j'étais content quand j'ai vu le colis d'Amazon sur mon bureau. Je l'ai déballé et j'ai détaillé le livre, le réservant avec impatience pour ma pause déjeuner. Je ne savais pas ce qui m'attendait... Je ne sais pas ce qu'ont pensé les Japonais autour de moi au café quand ils m'ont vu tour à tour rire et pleurer. "Encore un gaijin bizarre...". Moi j'étais scotché au livre, que j'ai englouti d'une traite. Je n'ai pas vu les regards, je n'étais pas là mais à l'autre bout du monde avec Loup. Et tant pis pour mes voisins.
Merci pour ce plongeon dans votre univers, merci pour ces mots et ce regard qui a fait faire du yoyo à mon cœur le temps d'une lecture... »
Emmanuel
C'est un récit parfait....à tous points de vue....
il touche, mouche, secoue, interroge, regarde, contemple, sonde, découd,
tricote, grave et drôle, si tendre, si profondément maternel.....il m'a aussi
beaucoup touchée pour la mémoire qu'il effleure...
Régine
Régine
« CYRANO OU LA MALADIE DE GLOIRE »
Théâtre
Editions Triartis - Collection « Scènes Intempestives » Mai 2010
"(...)Votre
travail pieux, intelligent, sensible, habile, donne de l'auteur une image
fidèle de ses tourments, de sa "difficulté d'être" à peine
croyable... et pourtant ! (…) Cyrano ! Pour moi un grand moment dont vous venez
de raviver l'éclat".
Thomas Sertillange – 18 novembre 2010
www.cyranodebergerac.fr
Cyrano, ou la maladie de la gloireUne pièce à trois personnages d'Isabelle Cousteil
Voici une nouvelles facette de Cyrano et de son auteur, présentée pour la
1ère fois au Festival de la Correspondance de Grignan au printemps 2010
« A la fin de l’envoi, je touche »
Ovations, triomphe de Cyrano de Bergerac au Théâtre de la Porte Saint-Martin,
Paris, 27 décembre 1897. Edmond Rostand, 29 ans, propulsé aux nues
internationales, tombe malade ! Il ne s’en remettra pas, atteint par une sorte
de « maladie de gloire ». La postérité lui réclame un nouveau sujet tonitruant,
un autre héros capable d’aller plus haut que son cadet de Gascogne bretteur,
poète, objet de son obsession…
Malgré l’Aiglon, malgré Chantecler,
il poursuivra en vain l’inaccessible étoile. Rosemonde, qui avait partagé les
rêves de gloire de son grand amour d’époux, ne réussira pas, en dépit de ses
incessants efforts, à l’arracher à la spirale de la dépression. Jusqu’à Cyrano
lui-même, bondissant hors de sa légende toute neuve, qui vient tenter de porter
secours à ce père ingrat.
Son remède magique tiendrait
pourtant dans un seul mot… le panache !
Sévignales: les lauréats des prix littéraires -
Vitré
La remise des
prix littéraires et des concours épistolaires des 6èmes Sévignales
s'est déroulée samedi 26 mars.
Catégorie
adulte :
1er prix avec félicitations
du jury à Isabelle Cousteil pour Espoir qu'en vous,
2ème
prix à Jérôme Rouillé pour Alice,
3ème prix à Renaud Tabard Trégaro pour Anna.
Les lettres des lauréats sont
publiées sur le site de la médiathèque: www.bm.mairie-vitre.fr
« GAUTIER / DUMAS FRACASSE ET D’ARTAGNAN AU PAYS DES TZARS »Editions
Triartis - Collection « Correspondances Intempestives »
Les mauvaises fréquentationsLe blog
de Thierry Savatier - 09 mai 2011
Peut-être y a-t-il là l’une des clés
de cette occasion manquée, forcément frustrante pour l’amateur de littérature,
car on imagine tout l’intérêt qu’aurait suscité un échange entre de tels
écrivains sur leurs expériences russes parallèles. Voilà pourquoi, pour combler
ce vide littéraire, deux auteures, Isabelle Cousteil et Agnès Akérib, ont
imaginé ce qu’aurait pu être la « correspondance intempestive » des
deux voyageurs, une « rencontre épistolaire », pour reprendre leur
propre définition, dont le but est de suppléer l’absence de dialogue direct. Ce
texte, écrit pour le théâtre, mais qui se lit avec délectation, vient d’être
publié sous le titre Gautier/Dumas, Fracasse et d’Artagnan chez les tzars
(Triartis, 144 pages, 15 €).
Il convient de préciser que la
fiction se limite au principe de cette correspondance (celle-ci n’ayant jamais
existé) et à quelques adaptations, d’ailleurs bien menées. Pour le reste,
Isabelle Cousteil et Agnès Akérib se sont livrées à un travail de bénédictin en
s’immergeant dans Le Voyage en Russie de Gautier, En Russie et Le
Caucase, de Dumas, sans omettre les articles que ce dernier publia
dans son journal, le Monte-Cristo, de 1858 à 1859, pour en extraire de
larges passages.
Sélectionner ainsi des bribes
d’œuvres qui tenaient par leur unité même peut se révéler périlleux ; en
effet, on prend facilement le risque de dénaturer les propos d’un auteur
lorsque l’on utilise des citations isolées de leur contexte. Tel n’est pourtant
pas le cas de cette « correspondance », car les choix effectués, avec
goût, subtilité et pertinence, rendent fidèlement compte des impressions
de voyage de l’un comme de l’autre. Il en résulte un échange fructueux, émaillé
d’un humour toujours bienvenu, où chacun, avec un œil acéré d’observateur,
décrit son périple, ses rencontres, l’environnement dans lequel il évolue. Les
rythmes des déplacements dans l’espace russe diffèrent, à la lumière desquels
on devine les deux personnalités et les deux démarches opposées de ces hommes
de lettres. Comme le précisent les auteures dans leur avant-propos, « Dumas
galope, avide d’aventures en croquant tout sur le vif, Gautier contemple avec
minutie et dépeint magistralement : deux manières de voyager, de regarder
et de rapporter les coutumes ou les paysages, les hommes ou les bêtes, les
nourritures terrestres ou spirituelles. » Au point que l’on se demande
s’ils ont vraiment visité le même pays, même si tous deux se rejoignent dans le
regard sans concession qu’ils portent sur un empire fondé, plus que d’autres
dans l’Europe de l’époque, sur de fortes disparités sociales.
Ces singularités transparaissaient
dans le jeu des deux acteurs, lors de la représentation du 3 avril. Et si ni
l’un ni l’autre ne présentaient de ressemblance physique avec les personnages
qu’ils incarnaient, la justesse du ton permettait au spectateur de négliger
ce détail (au reste, de peu d’importance, s’agissant d’une lecture). Bruno
Paviot campait un Dumas truculent, extraverti, léger, toujours à la limite
d’une sympathique emphase, brillant dans la technique narrative de l’anecdote,
bref, conforme au profil décrit par les témoins qui le fréquentèrent. De son
côté, Frédéric Rose sut rendre à Gautier sa finesse ironique, son humour au
second degré, sa passion d’esthète, ses observations subtiles et cette
sensibilité à fleur de peau, cette mélancolie qui trahissent toujours quelque
ancienne blessure secrète.
D’autres représentations devraient
être données, probablement dans un autre lieu, après les vacances d’été. Elles
seront annoncées auparavant dans ces colonnes. Et, pour ceux qui ne pourraient
se déplacer, reste le livre, qui s’inscrit dans la grande tradition littéraire
des récits de voyage du XIXe siècle.
Illustrations : Alexandre Dumas durant son voyage dans le Caucase,
photographie - Théophile Gautier en Russie, photographie.
PASSAGÈRES (nouvelles)
Editions Triartis - Collection « Échappées brèves»
240/3 310 - COUSTEIL, Isabelle
Passagères : Une femme de bonne volonté,
Les Silencieuses, Aiguillages, La Lettre.
Quatre nouvelles fluides et enlevées.
La première : toute la vie du Boulevard Clichy, le quotidien d’un
médecin à Montmartre, et sa compagne qui l’attend en lisant les 27 tomes des Hommes de bonne volonté. Réel,
imaginaire ? Nécessite du récit.
Dans la deuxième une jeune femme vient d’acquérir le jouet des temps
modernes : un téléphone portable. Elle appelle sa mère, pas de réponse...
Une histoire de mort.
La troisième : coup de foudre lors d’un concert dans un échange de
regards avec un clarinettiste italien. Une nouvelle histoire pour cette femme
mariée?
Quatre : juillet 1966 un couple en vacances, Elsa et Vladimir comme
Pablo et lacqueline Gala et Dali. Elsa porte un secret...
Dans chaque histoire une justesse de ton et d’analyse des sentiments
humains. Belle description aussi de la réalité urbaine, surprise des images si
naturellement ajustées. Des nouvelles au fort pouvoir de séduction Saluons à
nouveau la beauté et la lumière des mots d’Isabelle Cousteil.
O.B.